Ajustée à ma taille et à mes hanches, tout autour de ma poitrine, la robe m'enveloppe comme une seconde peau.
Elle s'ajuste, souple, elle moule mon corps aux endroits dits stratégiques, elle laisse deviner qu'à la suite de la chute des reins vient se placer une courbe confortable, telle l'assise d'un violoncelle sans sa pique.
Plus haut, pour celui qui me regarde, il faut résister à la tentation de baisser sa garde et le V en pointe indique la direction fatale, à la croisée d'un grain de beauté qui donne le la, et du fruit mûr qui donne faim aux plus rassasiés.
Elle est en un seul morceau.
Il suffit d'un lien pour la détacher, d'un geste pour la faire tomber.
La Robe Portefeuille.
Sur ma taille, il a tiré doucement la ceinture, j'ai tournoyé, je me suis retrouvée dos à lui.
Le portefeuille s'est entrouvert, il a pu glisser sa main dans le V croissant, pour cueillir le fruit mûr.
L'autre main a suivi un parcours plus ondoyant, passant le long d'une hanche, survolant le nombril et finissant sa course dans le nid accueillant où toute vie se perd.
La robe se tenait entre nous comme un paravent soyeux, un voile de pudeur sur l'impromptu, elle ne demandait qu'à faire sa révérence et quitter la scène.
La Robe...te met à nu.
Elle s'ajuste, souple, elle moule mon corps aux endroits dits stratégiques, elle laisse deviner qu'à la suite de la chute des reins vient se placer une courbe confortable, telle l'assise d'un violoncelle sans sa pique.
Plus haut, pour celui qui me regarde, il faut résister à la tentation de baisser sa garde et le V en pointe indique la direction fatale, à la croisée d'un grain de beauté qui donne le la, et du fruit mûr qui donne faim aux plus rassasiés.
Elle est en un seul morceau.
Il suffit d'un lien pour la détacher, d'un geste pour la faire tomber.
La Robe Portefeuille.
Sur ma taille, il a tiré doucement la ceinture, j'ai tournoyé, je me suis retrouvée dos à lui.
Le portefeuille s'est entrouvert, il a pu glisser sa main dans le V croissant, pour cueillir le fruit mûr.
L'autre main a suivi un parcours plus ondoyant, passant le long d'une hanche, survolant le nombril et finissant sa course dans le nid accueillant où toute vie se perd.
La robe se tenait entre nous comme un paravent soyeux, un voile de pudeur sur l'impromptu, elle ne demandait qu'à faire sa révérence et quitter la scène.
La Robe...te met à nu.
Hum, vous décrivez rudement bien le plat de résistance, après avoir parlé des desserts...;-)
RépondreSupprimerensuite, ce sera au tour des entrées ?
J'ai hâte...
Bravo les filles, il est bien votre blog, juste à point pour un pirate !
Besos
Jack
Merci Jack le Pirate! c'est une idée cette histoire d'entrées...mais serons nous rassasiées des desserts? je ne sais pas!
RépondreSupprimerAlors, on reprendra du dessert quand on veut...
RépondreSupprimerJ'adore les profiterolles au chocolat !
Je me le tiens pour dit...nous verrons ce que la nature peut faire de ces délices...
RépondreSupprimervraiment ..très.. appétissant... ! waouhhhh... les filles.... vous êtes vraiment très fortes en mise en bouche... avec ces jolis mots tissés...
RépondreSupprimerquant à la photo... elle est tout aussi parfaite .. et me convient parfaitement
L'effet des tissus peut-être varié et surprenant c'est vrai ;-)
RépondreSupprimerdepuis que j'ai lu votre robe , tout se dérobe sous mes pieds :-(
RépondreSupprimerLa chute est elle fatale? j'en suis bien marrie...il ne reste qu'à jeter le dé. ;-/
RépondreSupprimerLa chute est de rein, la robe du meilleur tonneau...
RépondreSupprimeril démarre bien ce blog !
Good luck les filles !
Cap'tain Jack
En tout cas, il a deux fidèles lecteurs ;-) merci beaucoup!
RépondreSupprimerJe ne sais à combien de mains vous écrivez, mais les mots sont plaisants à découvrir et le sujet, d'allure si désuète, révèle bien plus qu'un bout de tissu. A vous lire encore...
RépondreSupprimerMots d'Elle, nous sommes deux, à chacune notre tour ou pas, mais quatre mains c'est sûr...merci et bienvenue. L'Une de nous vous connaît bien, l'Autre vous découvre avec plaisir...
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